SUGARLAND

 

 

Produits sans sucre dans un supermarché représentent 20% de l’ensemble des produits

 

Crise cardiaque Eisenhower : (voir dossier cholestérol)

  • Graisse :
  • Sucre
  • Marque un tournant dans la communication et les insights car elle sera attribuée aux graisses : naissance de la mode du « pauvre en graisse »

 

Différents types de sucre

  • Glucose (carburant) -> cerveau, cellules, organes
  • Lactose
  • Saccharose

° glucose

° fructose : donne le goût sucré / graisse abdominale

 

Sucre dans le corps

  • Fructose -> foie -> quand pas naturel + difficile à drainer

->si les réserves sont pleines alors la graisse reste dans le foie

  • Glucose -> foie -> mieux traité -> énergie ou réserve

 

Insulino-résistance et diabète -> graisse envoyée dans le sang sous forme de triglycérides (surpoids, blocage artériel, maladie cardiaque …)

 

+++ sucre / hydrate de carbone = +++ glucose

C’est l’insuline qui permet aux cellules d’absorber le glucose ; elle le retire du sang et le brûle pour le transformer en énergie

La quantité d’insuline est proportionnelle à la quantité de glucose

 

L’insuline demande aux cellules de retenir les graisses et désactive ainsi le process de combustion des graisses

 

  • + sucre -> + insuline -> + les cellules retiennent les graisses => on ne peut donc pas éliminer les graisses

 

Maladies chroniques liées à l’obésité et au diabète

  • Maladies cardiaques
  • Cancer
  • Goutte
  • Hypertension artérielle
  • Alzheimer …
  • Rapport direct/indirect au sucre ?!

 

 

 

Sucre : impact physique et psychologique

  • Pic d’énergie
  • Léthargie jusqu’à la prochaine dose de sucre

 

Le cerveau et le corps fonctionnent au glucose : si le taux de glucose est instable -> fluctuations

 

Manque de sucre -> adrénaline (anxiété, angoisse, changements d’humeur) -> cerveau demande du sucre

 

Sucre : impact sur les enfants :

  • Concentration

 

La quantité de sucre absorbée par les aborigènes :

  • Enorme donc très destructrice
  • Origine occidentale

Les occidentaux ont implanté leurs magasins et sont devenus les seuls distributeurs sur les lieux

  • La santé des aborigènes dépend de ce qui est dans ce magasin

 

Création de « Mai Wiru » : amélioration de l’alimentation -> arrêt des aides gouvernementales http://www.maiwirufoundation.org/

 

USA : + 4000 cuillers/an de sirop de mais (très très riche en sucre et présent dans beaucoup d’aliments)

 

Sirop de mais = Sucre MAIS pas dans les insights des gens notamment du fait de la communication faite sur ce produit dans les 80s

  • Seulement ajd ils affirment que c’est la même chose après analyse des conséquences
  • Les industriels du sucre dans une volonté de se dissocier affirme l’inverse

 

La salive met 20 minutes à nettoyer la cavité buccale donc si nous buvons du soda toutes les 20 minutes les dents baignent dedans toute la journée

 

USA : soda lié à la pauvreté

 

Pepsi : « à consommation modérée Mountain Dew fait partie d’un régime sain et équilibré »

  • Sauf que la quantité de caféine et de sucre présente dans chaque canette est tellement importante qu’il est très difficile de consommer avec modération

 

Lauréat du prix Pulitzer : comment les entreprises nous rendent accros : Mickael Moss

  • Optimisation de l’attractivité des produits (en fonction de nos goûts/désirs/addictifs)

 

Quantité de sucre optimale = Bliss point

70s : Howard Moskowitz : + il y a de sucre + les gens aiment -> jusqu’à un certain point = BP

Bliss Point : dans tous les produits (sodas, sauce, céréales, etc ) : exploite la biologie de l’enfant :

  • L’enfant se retrouve dans l’attente du sucre et du goût sucré
  • L’enfant n’aime pas les autres goûts

 

La consommation et la dépendance au sucre s’explique :

  • Désir primaire de l’Homme
  • Présence quasi inévitable du sucre et ce en grande quantité dans tous les aliments

 

Miracle berry -> rend tout sucré

 

Vision du déclencheur / signal sucré :

  • Libère de la dopamine dans le cerveau
  • Le cerveau envoie un message (dû à son origine « besoin en énergie »)
  • Consommation
  • Libération des opioïdes et beta-endorphines
  • Sensation de bien-être : le sucre stimule les mêmes zones que la nicotine, la cocaïne, le sexe
  • le sucre active la zone de récompense
  • le fructose touche le centre de contrôle de l’appétit
  • le glucose agit sur nos humeurs

 

  • + on mange du sucre + on a envie d’en manger
  • Serge Ahmed : on aime le sucre autant que la cocaïne

 

Les dealers sont cachés alors que les géants de l’agro-alimentaires sont partout

 

La communication des géants sur l’obésité et les maladies s’est ancrée dans la façon de penser du commun :

« les gens sont pleinement responsables de leurs choix »

  • Il y a 50 ans : obésité = +++ calories — exercice => personnes en surpoids = paresseuses et gourmandes

 

L’important n’est pas le nombre de calories mais la source : Sucre VS avocat

La façon d’expliquer et interpréter les calories est mauvaise : on compare le nombre de calories et on prend l’aliment le moins calorique : ici le sucre sauf que

  • Il existe des différences entre les calories présentes dans le sucre et l’avocat par exemple
  • Les effets sur le corps sont différents

 

Les géants de l’agro-alimentaire ont appliqué 2 stratégies majeures :

  • Développer l’addiction au sucre en visant le désir primal du sucre
  • Affirmer que toutes les calories sont identiques

 

Commerce du sucre mondial : 50 milliards de dollars

 

 

 

 

Message concernant le sucre :

  • Dans les 70s : 1ère étude du gouvernement américain sur la dangerosité du sucre
  • Association du sucre lance une campagne
  • Paie des scientifiques
  • Engage des sociétés de RP
  • Publie un rapport et communiqué : les scientifiques dissipent la crainte du sucre
  • Rapport publié : « Le sucre dans l’alimentation humaine » :

° 0 mention à l’industrie sucrière

° publié dans une revue

° 25k exemplaires

  • Rapport utilisé par le gouvernement américain pour asseoir ses conclusions : le sucre est disculpé, le monde a suivi.

 

Jack Tatem, président de l’association, a déclaré à son comité que « rien ne prouve un quelconque lien entre le sucre et ces maladies chroniques. C’est l’élément vital de notre organisation. L’élément vital de notre produit. Si quelqu’un établit un lien entre le sucre et ces maladies, on est mort. Alors ce qu’on doit faire c’est veiller à ce qu’il n’y ait aucun consensus :

  • Manipulation des preuves
  • Confusion (ce qui n’est pas sans rappeler la cigarette et l’industrie du tabac : paralyser ou contrer les actions publiques

 

Industrie du sucre :

  • Paie des scientifiques
  • Paie des organisations de lutte contre le cancer et les maladies cardio-vasculaires
  • Publie des déclarations mensongères dans la presse
  • Stigmatise les scientifiques qui ne travaillent pas pour l’industrie

 

De nombreuses analyses financées par l’industrie sucrière vont dans le sens des industriels du sucre -> aucune preuve entre le sucre et les maladies métaboliques

 

Comment un scientifique défend le sucre et le fructose ?

  • La surconsommation

 

Financement illimité de Coca Cola pour les chercheurs :

  • « rien à dire sur les questions que les chercheurs posent, la manière d’organiser les recherches, l’interprétation »

// Difficultés des fonds pour la recherche

 

Colloque sur le fructose et boissons sucrées sponsorisé par Coca Cola : orateur principal : Dr John Sievenpiper.

 

Sucre :

  • Indissociable des célébrations
  • Exprime l’amour / suscite l’amour : le cerveau répond à la réaction chimique de la même façon qu’on répond à l’amour
  • Peine : sucre pour aller mieux
  • Manque de douceur, d’amour
  • Établit des liens complexes entre le cœur, l’esprit et le corps
  • Impact sur la culture ?

 

Rudolf Steiner : « le sucre suscite en soi le matérialisme et l’évolution du métabolisme du sucre et de la culture du sucre entraine une culture matérialiste »

 

Epoque de la gratification immédiate -> sucre = énergie immédiate

 

Conséquences du sucre :

  • Foie :

Santé du foie : le repère est l’ALAT (hormone)

Un foie gras est la première étape vers l’insulino résistance -> diabète de type 2 et insulino-dépendance -> amputation d’un membre

 

  • Triglycérides = graisse dans le sang

Indique le passage d’un bon cholestérol à un cholestérol nocif LDL de basse densité (prélude à la maladie cardiaque) = se colle à la paroi artérielle et forme des plaques

 

 

 

 

 

RECHERCHES ANNEXES :

https://www.planetoscope.com/sucre-cacao/471-consommation-de-sucre-en-france.html

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/sucre-les-francais-en-consomment-en-moyenne-35-kg-par-an_3026651.html

 

Différents types de sucres :

 

https://www.lanutrition.fr/bien-dans-son-assiette/aliments/sucre-et-produits-sucres/sucre/le-sucre-dans-tous-ses-etats

 

 

 

 

 

Différence entre glucide et sucre :

  • Glucide simple = sucre
  • Glucide complexe : une des trois principaux macronutriments (avec les protéines et les graisses) qui fournit l’énergie nécessaire au corps

 

Consommation de sucre en France :

2,2 millions de tonnes par an principalement sous forme de produits transformés

Depuis 90 la consommation de sucre s’est stabilisée à 35kg/français/an (1965 : 45kg)

10 à 15 fois supérieure qu’il y a un siècle

 

Le taux d’obésité a doublé et touche 15% des français

 

Record de consommation : Singapour avec 85kg

 

Utilisation du sucre en France 2013-2014 :

  • Industrie alimentaires : 387k tonnes (58%)
  • Alcool et éthanol : 1 713k tonnes (20%)
  • Sucre de bouche : 270k tonnes (13%)
  • Industrie chimique et pharmaceutique : 580k tonnes (9%)

 

Selon l’organisation Corporate Europe Observatory en 2018 :

12 sociétés de lobbying active qui dépensent 21,3 millions d’euros pour promouvoir les intérêts de l’industrie du sucre (éviter par exemple une taxe sur les boissons sucrées)

 

https://www.planetoscope.com/agriculture-alimentation/1701-production-de-sucre-en-france.html

 

La France est le premier producteur européen de sucre et premier mondial de sucre de betterave.

44 500 emplois directs pour un CA annuel en 2014 de 3,8 milliards d’euros

 

 

Supermarchés :

https://www.thierrysouccar.com/nutrition/info/comment-manger-sain-au-supermarche-4561

  • Comment les industriels fabriquent les aliments
  • Ces aliments seraient la première cause de décès dans les pays occidentaux
  • 6 règles pour faire le bon choix (règle n°6 : jamais de produits allégés en matières grasses)

 

 

Substituts sucre :

 

Sirop de mais : contient près de 90% de sucre / Les USA ont vanté ses mérites face au sucre car :

  • Il est moins cher du fait de l’abondance des cultures de maïs, des subventions et taxes sur les sucres importés
  • Plus facile à mélanger et à transporter du fait de sa forme
  • Permet aux produits d’avoir une plus longue durée de vie

 

Sirop d’agave : +70% de fructose https://www.lasantedanslassiette.com/au-menu/articles/sirop-agave-pas-si-sain.html

  • Moins calorique que le sucre
  • Fructose associé aux fruits sauf que le pourcentage de fructose contenu dans les fruits n’est compris qu’entre 10 et 20% (une banane environ 5%)

 

Miel : 80% de sucre

  • Même valeur calorique mais indice glycémique plus faible
  • Addiction au miel = addiction au sucre

 

Sirop d’érable : 68% de saccharose

  • Indice glycémique faible
  • Autant de calories que le sucre blanc
  • Antioxydant, permettrait aux cellules d’absorber plus rapidement le glucose
  • Peut etre le meilleur substitut

Attention : le fructose n’est pas forcément meilleur que le glucose car il se loge directement sur le foie et cause la résistance à l’insuline, l’augmentation des triglycérides, l’accumulation de la masse graisseuse.

USA : taxe soda

http://www.rfi.fr/economie/20171020-taxe-soda-etats-unis-offensive-producteurs-boissons

Depuis 2013 les USA essaient d’implanter la taxe soda afin de lutter contre l’obésité. En 2017, le comté de Cook dont fait partie la ville de Chicago a annulé cette taxe sous prétexte de vouloir défendre le pouvoir d’achat des plus démunis (qui sont les plus gros consommateurs et les plus touchés par l’obésité).

Boissons sucrées :

http://www.sante-et-nutrition.com/consommation-soda-france/

  • Un francais consomme +50L de boissons sucrées par an
  • Hausse chez les pays émergents

Taxe soda en France entrée en vigueur le 1er juillet 2018 (mise en place en 2012 mais le taux est désormais variable en fonction de la quantité de sucre) / Coca a trouvé un subterfuge en remplaçant les formats (origine du conflit avec Leclerc qui avait arrêté de le distribuer) : ex les bouteilles de 2L sont supprimées et remplacées par des bouteilles de 1,75L tout en conservant voire en augmentant le prix

Relation entre alimentation et niveau socio-économique chez les enfants et les adolescents en France :

https://www.anses.fr/fr/content/disparit%C3%A9s-socio%C3%A9conomiques-et-alimentation-des-enfants-et-adolescents-un-%C3%A9tat-des-lieux-sur

  • Milieu défavorisé
  • Moins de fruits et légumes jusqu’à une portion en moins par jour
  • Plus de boissons sucrées jusqu’à 2,5 verres en plus par semaine
  • Davantage touché par la surcharge pondérale (potentiel rôle de la sédentarité)
  • 25% des enfants ont une alimentation équilibrée (contre 40% dans les milieux favorisés)

C’est moins le revenu et plus le niveau d’éducation qui influe sur l’alimentation de l’enfant.

Bliss point (=point de félicité / bonheur) :

https://www.lyoncapitale.fr/a-table/sel-sucre-gras-comment-ils-nous-ont-rendus-accro/

Niveau de sucre optimal

Créer par Howard Moskowitz qui cherchait un nouvel arome pour son soda Dr Pepper : il a créé 61 formulations sucrées qu’il a soumises à plus de 3000 dégustations par des consommateurs de tous les pays avant d’appliquer une formule de régression pour trouver la formule parfaite.

Howard Moskowitz :

Légende de l’agroalimentaire ; formé en psychologie expérimentale à Harvard

Meme si les entreprises voulaient revenir à des produits plus sains cela serait compliqué car :

  • Les gens sont habitués à ce goût donc fortes chances qu’ils rejettent les produits
  • Si le CA diminue Wall Street pressera les entreprises à reprendre la formule la plus populaire
  • Sucre

Le sucre est très ancré car chacune des 10k papilles gustatives est habituée au goût du sucré et envoie des signaux au cerveau pour qu’on en remange

  • Graisse

La graisse est parfois plus puissante que le sucre notamment quand elle est sous forme solide car le cerveau a du mal à la reconnaitre en tant que telle et n’envoie pas de signal pour en manger moins

  • Sel

Le sel est différent du sucre et de la graisse car on développe un penchant pour celui-ci vers l’âge de 6 mois  en étant fortement influencé par l’industrie agroalimentaire via les produits transformés. Le sevrage en est donc d’autant plus facile.

Le sel est un ingrédient miracle pour les industriels car peu cher, permet d’améliorer le goût et de prolonger la durée de conservation.

Miracle berry :

http://www.curieuxdesavoir.com/107-le-fruit-miracle-le-fruit-du-.html

https://www.fruit-miracle.net/info/reportage-d8-sur-la-miraculine-1.php

Espèce d’arbres de la famille des Sapotaceae originaire d’Afrique de l’Ouest. Son fruit, le « fruit miracle », a pour effet de supprimer les sensations de l’acidité et de l’amertume pendant 30 à 60 minutes.

La baie elle-même a une faible teneur en sucre et un goût légèrement sucré.

Le nom de « fruit miracle » est aussi donné à Gymnema sylvestre et au katemfe qui sont deux autres espèces de plantes utilisées pour modifier la douceur perçue des aliments.

La pulpe du « fruit miracle » a la propriété de recouvrir les papilles gustatives de la langue ce qui neutralise l’acidité de tout autre aliment, citron par exemple, durant environ une heure, car il contient une glycoprotéine nommée miraculine.

 

Dans les années 70, Robert Harvey a tenté de commercialiser la miraculine à grande échelle aux États-Unis sous le nom de Miralin. mais la FDA a bloqué le développement de ce nouvel édulcorant naturel car aucun test de non toxicité n’avait été réalisé. À la même période, l’aspartame a, lui, été autorisé.

 

 

Potentiel addictif du sucre :

https://www.liberation.fr/checknews/2018/01/29/le-sucre-est-il-plus-addictif-que-la-cocaine_1625877

Le spécialiste des maladies cardiovasculaires James DiNicolantonio et le cardiologue James O’Keefe ont conclu « la consommation de sucre produit des effets similaires à la consommation de cocaïne, notamment parce qu’elle altère l’humeur, possiblement parce qu’elle induit le plaisir et active le mécanisme du circuit de la récompense se trouvant dans le cerveau, ce qui provoque la recherche du sucre ».

Cette théorie fait encore débat mais pour Serge Ahmed elle ne fait pas de doute : au mieux ce sont des incompétents au pire ils sont financés par les industriels du sucre.

Expérience des rats qui préfèrent le sucre à la cocaine mais les rats sont peut etre plus attirés par ce qu’ils trouveraient dans la nature ? Les rats ne sont pas dérangés quand le sucre est remplacé par la saccharine ce qui montrerait que c’est le goût plus que le sucre qu’ils cherchent. D’autre part lorsque la consommation de sucre est associée à un stimulus négatif le rat ne consomme pas ce qui n’est pas le cas avec la cocaine.

On ne mange plus pour survivre mais pour le plaisir.

Calories :

https://www.fitnext.com/fr/conseils/perte-poids/chaque-calorie-compte/

 

Une calorie est la quantité de chaleur nécessaire pour augmenter d’1 degré la température d’1 gramme d’eau. Elle mesure également la quantité de chaleur que va produire un aliment quand celui-ci fournira de l’énergie dans notre corps.

  • Calories pleines
  • Calories creuses

 

Nutriments :

  • Glucide : fournir suffisamment de glucoses exploitables par les muscles et le cerveau pour qu’ils fonctionnent à plein régime. Une partie sera stockée dans notre organisme sous forme de glycogène quand notre corps aura besoin d’énergie.
  • Proteine : éléments principaux qui constituent les muscles, ils sont de faibles fournisseurs d’énergie 
  • Lipide : participent au travail musculaire, au stockage des matières grasses, à la composition des membranes cellulaires et intervient dans un grand nombre de réactions chimiques

 

Différence entre 120kcal d’une barre chocolatée et 100g de riz :

 

Chocolat : se précipite dans le sang et déclenche une hausse de la glycémie

-> production importante d’insuline

-> hypoglycémie réactionnelle

 

Riz : diffusion lente de son sucre donc apport énergétique stable et constant

 

Docteur John Sievenpieper :

Connu pour ses recherches sur le fructose et la prise de poids, qui ont révélé que le fructose n’avait pas plus d’effets néfastes sur la santé que les autres sources de calories.

Il est sous le feu des critiques pour cette recherche car une partie de celle-ci a été financée par les industries du sucre et des boissons non alcoolisées

Il a également été retenu comme témoin expert par la Corn Refiners Association (industrie du raffinage du mais -> huile de mais, sirop de mais etc

 

 

 

 

 

Communication :

https ://www.lesucre.com/sucre-de-a-a-z/histoire/le-sucre-dans-la-pub.html

Trente Glorieuse : le sucre soutient les travailleurs qui participent à l’effort de reconstruction de la France. Dans les années 50, le sucre joue également la carte de l’exotisme, alors en vogue dans la publicité de produits comme le café ou le chocolat. Le concept de nutriment au service de l’activité physique fait son apparition.

 

60s : marquent l’entrée dans l’ère du marketing. L’image du sucre comme aliment de base se transforme pour laisser place à un produit porteur de valeurs appréciées par la société : vitalité, énergie, jeunesse, loisirs, émancipation des femmes… Aliment de l’effort par excellence, c’est sur cette thématique que porte la grande campagne média : « Quelle énergie dans le sucre » (1968).

 

 

70s : évolution des modes de vie : urbanisation, tertiarisation, développement du travail des femmes… Les comportements et les attentes des consommateurs en matière alimentaire se complexifient. La sédentarisation a pour conséquence une diminution des dépenses énergétiques et des besoins caloriques.

La durée pour la préparation, comme pour la consommation des repas, tend à se réduire. Aussi, les IAA (Industries Agro-Alimentaires) vont proposer les produits « gain de temps ». Facilité d’usage, prêts à l’emploi, autant d’idées qui feront le succès des plats cuisinés.

90s : nouveau concept lui permettant de se positionner en toute légitimité sur un territoire que les édulcorants ne peuvent revendiquer, comme le garant de l’éducation du goût, du vrai goût (et d’autant plus du goût sucré ), et de notre patrimoine culinaire : « La Semaine du Goût ».Cet événement ritualisé chaque 3e semaine d’octobre prend rapidement une ampleur nationale et un caractère institutionnel. Il touche plus de 11 millions de Français.

 

https://www.youtube.com/watch?time_continue=35&v=9bgm-fUL_P0

Avec le Sucre, vous êtes dans le Vrai !

Avec un consommateur qui en veut toujours “plus” : plus de vitamines, d’oligo-éléments, plus d’informations aussi. Il veut trouver dans son alimentation des effets bénéfiques sur sa santé : c’est l’ère de l’alicament.

Ces nouvelles exigences liées à la santé par notre alimentation sont exacerbées par la crise de la vache folle et les peurs engendrées par les manipulations génétiques. On veut plus de traçabilité, de sécurité, de qualité, de naturalité, et donc plus d’information… Autant d’aspects intégrés par la Collective du Sucre en 1997.

Les films « Rapide asperge » et « Fast huître » veulent démontrer par l’absurde les risques de dérive alimentaire que nous encourons. Et contribuent à revaloriser le sucre en tant que produit et ingrédient d’origine naturelle et authentique, aux qualités organoleptiques uniques, qu’aucun substitut ne pourra remplacer. « Avec le Sucre, vous êtes dans le Vrai ! ».

 

https://www.youtube.com/watch?time_continue=31&v=9m9smE1GijA

 

Années 2000 :

https://www.youtube.com/watch?time_continue=31&v=cb_Qumo9P3g

https://www.youtube.com/watch?time_continue=31&v=kb7YXgWOIiI

 

 

 

 

 

 

 

 

Sugarland + recherches annexes

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